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Marche unitaire le 23 septembre 2023, 10h Préfecture de Clermont
TOUS DANS LA RUE !
Communiqué FSU :
A la suite de la semaine de la Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), la FSU souhaite alerter la Présidence et l'ensemble des collègues sur la très inquiétante montée du mal-être à l'UCA.
Extraits :
En tant que représentants du personnel, nous sommes de plus en plus sollicités par des agents en souffrance (Biatss, enseignants, titulaires, contractuels), parfois en grande souffrance, des agents démotivés dont beaucoup manifestent l’envie de partir.
Parmi ces collègues, nombreux sont ceux souffrant des agissements de leur hiérarchie : autoritarisme (aussi bien subi par les BIATSS que par les enseignants), mise au placard, clientélisme, absence d’empathie à l’égard des collègues en souffrance ou de retour de maladie, etc. Des dérives à notre sens trop peu prises au sérieux par l’Administration et parfois même couvertes.
Nous appartenons à l’UCA, où des collègues enseignants chercheurs travaillent sur ces thématiques de sociologie du travail, de management, de psychologie sociale, l'UCA forme les cadres de demain mais sur le terrain, les collègues subissent des méthodes de management du siècle dernier ! [...]
Un exemple :
En décembre 2018, l'équipe du Service de Santé Universitaire (SSU), dont plusieurs syndiquées FSU, ont été à l’initiative d’une campagne d’alerte sur les conditions de travail des personnels du SSU et d’accueil des étudiants, campagne fortement médiatisée (articles dans La Montagne et reportage vidéo à France 3 : Cafards, chauffage détraqué et eau croupie au service de santé de l'université). Le Président Mathias Bernard avait alors minimisé le caractère dramatique de ces conditions de travail et avait assuré qu’en 2020 de nouveaux bâtiments seraient ouverts.
5 ans après non seulement le SSU n’a pas déménagé mais les conditions se sont dégradées du fait de la hausse des consultations liées aux suites du Covid mais aussi au désengagement accru de l’Etat pour l’accueil des patients aux urgences ! [...]
L’Administration a été obligée de reconnaître à plusieurs reprises ces derniers mois l'hémorragie frappant l’administration de l’UCA, obligeant au recours accru à des contractuels (DAF, RH, etc.)
Certains cadres (ceux à qui la modification des règles d’attribution des primes RIFSEEP à l’UCA va le plus profiter !) justifient ces départs par une politique indemnitaire plus favorable ailleurs. Certes cet élément peut jouer, mais l’ensemble des enquêtes nationales montrent depuis longtemps que les agents publics accordent en premier lieu de l’importance au sens de leur travail, à la reconnaissance de leur hiérarchie, à la bonne entente avec leurs collègues. [...]
En attendant une réponse de la gouvernance, Ne rester pas seul(e)s face à votre souffrance au travail !
Rapprochez-vous de vos représentants du personnel ; de la cellule de veille RPS, de la cellule ALEX !
Les élu(e)s SNESUP-FSU, SNASUB-FSU et SNICS-FSU de l'UCA
Pour les salaires, les pensions, les bourses d’études, les minima sociaux : en grève le 29 septembre !
Rendez-vous :
- Puy-de-Dôme : manifestation à 10h30 Place des Luttes (Place des Carmes).
- Allier : manifestations à 14h30, place J. Dormoy à Montluçon, place de la Liberté à Moulins, place de la Poste à Vichy
- Cantal : rassemblement à 9h place des droits de l’homme à Aurillac.
- Haute-Loire : manifestation à 10h30 place Cadelade au Puy en Velay.
Contre l'individualisation des salaires, le gel du point d'indice, l'inégalité femme-homme : toutes et tous en grève le 8 et 17 mars !
Selon un rapport de l'INSEE sur ParcoursSup, "la mise en place de Parcoursup en 2018 a eu un fort impact sur les pratiques de classement des formations non sélectives (licences universitaires) : la part des mentions bien ou très bien est ainsi passée de 29% à 59% parmi les candidats les mieux classés". Ainsi, les étudiants venant des lycées les plus populaires sont petits à petits exclus du cursus universitaire et n'ont d'autre choix que de rentrer sur le marché du travail sans qualification.
La FSU n'a cessé de dénoncer la loi ORE et la mise en place de ParcoursSup comme une sélection à l'université qui exclut les étudiants les plus fragiles : "Parcoursup est une plateforme dont le principe repose sur la mise en concurrence des candidat-es et des formations supérieures. Elle promeut les formations privées et l’apprentissage dans un marché éducatif où les formations publiques sont paupérisées. Faute de hiérarchisation des vœux a priori et via des algorithmes locaux, elle favorise la sélection par les formations au détriment des souhaits des lycéens conduisant à une relégation des candidat-es les plus socialement et scolairement fragiles, mise sur la dissuasion par l’attente et l’autocensure. Pour toutes ces raisons, Parcoursup ne permet pas l’orientation et la réussite des jeunes, et est un outil d’une sélection généralisée induite par la loi ORE dont la FSU revendique l’abrogation. La FSU demande donc l’abandon de Parcoursup et un investissement massif pour permettre l’accès à tous et toutes dans l’enseignement supérieur." (extrait des textes du Congrès FSU 2022)
Le Déni de réalité, ça suffit !
Clermont, rendez-vous 10h place DELLILE !
Allier : 14h30 place Piquand (Montluçon) ; place Jean Moulin (Moulins) ; place de la Poste (Vichy)
Aurillac, rendez-vous Lycée Jean Monnet, AG à 13h30 et départ à 14h30
Télécharger le Tract FSU national
Sommaire :
- Crise sanitaire, service public et agents publics
- Contre la barbarie, ne rien en rabattre sur la défense de la liberté et des droits démocratiques et sociaux
- Actu par secteur : Etablissements Scolaires / Services / Enseignement Supérieur
- Défendre des carrières revalorisées et l’égalité de traitement
- Renforcer notre activité syndicale : élargir et former nos équipes militantes !
Voilà la motion de la commission nationale du Snasub expliquant pourquoi la signature de ce protocole par plusieurs organisations constitue un point d'appui majeur au gouvernement pour faire adopter et mettre en oeuvre la loi de programmation de la recherche (LPR), un big bang pour les conditions de financement des établissements, des rémunérations, des conditions travail et de recrutement des personnels du Sup et du Supérieur.
- Ce protocole acte des progressions honteuse des indemnités d'une minorité des ITRF (10 € en moyenne), laissant par ailleur sur le carreau la totalité des agents des filières AENES, Bibliothèques, et la grande majorité des ITRF.
- Il acte la généralisation du recours au Complément indemnitaire annuel, la prime à la performance que nous avons à l'UCA toujours combattu.
- Il acte des repyramidages qui ne concernent que certaines BAP scientifiques et de façon beaucoup trop insuffisante.
- Il acte le recrutement d'une partie des enseignants chercheurs sous forme non statutaire via les contrats tenure track
- Il acte surtout la mise en place de la LPR dont il est partie prenante dans sa dimension budgétaire.
Le SNASUB rejette ce protocole ; il défend l'ensemble des filières du SUP, l'ensemble des BAP ITRF et refusera toujours de cautionner des politiques d'individualisation des rémunérations et carrières, des politiques de mise en concurrence des agents et établissements ou laboratoires.
Le 5 mars, à l'appel d'un collectif national, associant syndicats et personnels et étudiants mobilisés dans différentes universités, sera organisée une journée "Universités mortes" pour informer et s'opposer au projet de loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR).
Son adoption signifierait un big bang de l'Enseignement supérieur, mettant à bas les garanties statutaires des enseignants, généralisant les recrutements en CDD, CDI ou par Tenure Track, concentrant les moyens sur les établissements ou laboratoires d'excellence.
Effets de la LPPR sur les BIATSS :
- Déjà fortement touchés par la précarité, les personnels ingénieurs, techniciens ou administratifs seraient les premiers visés par les CDI de chantier
- Inégalités accrus entre les managers aux pouvoirs et rémunérations qui explosent, et les précaires, avec disparition progressive des positions intermédiaires
- Désorganisation des équipes par les départs permanents (fin de contrat, démission, burn-out)
- Externalisation au privé, parfois à des filiales de l’université
- La cours des comptes demande que la LPPR augmente le temps de travail des Biatss de 9% en moyenne et qu’on contrôle plus leur congé
Tract intersyndical contre LPPR
Tract Paris 7 sur les BIATSS et la LPPR
Rendez-vous à partir de 10h à la faculté de Droit de Clermont-Fd pour une manifestation et des tables rondes d'information sur les projets de lois en cours.
Mardi 10 décembre, à l'occasion de la journée de grève contre la réforme des retraites, les forces de police ont poursuivi des étudiant.es mobilisé.es jusque dans les locaux de la BU Lettres de l'Université de Bretagne Occidentale à Brest.
Les étudiant.es s'y étant réfugié.es se sont fait.es jeter au sol et matraquer pour certain.es devant des bibliothécaires scandalisés qui ont dû intervenir et s’interposer pour les protéger.
Le président de l'université s'est lui-même indigné de cette intervention policière, exigeant des explications de la sous-préfecture : « La sous-préfecture a couvert cette violente intervention en déclarant honteusement qu'un policier avait suivi une quinzaine d'individus masqués à l'intérieur de l'université, l'un d'eux équipé d'une barre de fer. Le policier aurait ensuite brandi sa matraque pour éloigner les autres sans en faire usage, avant qu'un de ses collègues n'arrivent. » (Ouest-France)
Le SNASUB-FSU dénonce cette intervention dans les locaux de l'université et les violences qui s'en sont suivies de la part des policiers ; il dénonce le choix de la sous-préfecture de couvrir ces violences en déformant totalement la réalité des faits. Les étudiant.es étaient pacifiques et ils-elles n’étaient ni masqué.es, ni violent.es ni menaçant.es.
Le SNASUB-FSU apporte son soutien aux personnel.les et étudiant.es présent.es.
Le SNASUB-FSU dénonce les violations des franchises universitaires par des interventions policières dans les universités, récurrentes ces dernières années. Cela doit cesser !.
Le SNASUB-FSU dénonce cette nouvelle répression du mouvement social.
Clermont-Ferrand, 12 décembre 2019
SNASUB-FSU
Lire_le_communique_SNASUB_sur_violences_policieres_BREST.pdf
Après les très fortes mobilisations du jeudi 5 décembre, continuons la lutte !
Faisons grève et allons manifester le mardi 10 décembre 2019.
A partir du 5 février,
Syndicats et gilets jaunes, salariés, précaires, chômeurs, retraités, jeunes,
pour faire céder le gouvernement, construisons, partout dans les entreprises, les services publics et dans la rue, la mobilisation vers la grêve générale reconductible et le blocage du pays pour faire aboutir nos revendications.
Toutes et tous en grève le 5 février
Au printemps 2019, le gouvernement veut soumettre un projet de loi transcrivant son Programme Action Publique 2022, présenté et discuté depuis mars 2018. Se déclinant en 4 chantiers, PAP 2022 constitue une remise en cause sans précédant des garanties statutaires et des missions de service publique.
- 1-tout pouvoir donné à la hiérarchie pour les mutations et les promotions en CAP, fusion des CT-CHSCT
- 2-généralisation du recrutement contractuel en lieu et place des fonctionnaires
- 3-généralisation du salaire au mérite, mise en concurrence des agents et des services
- 4-plan de départ volontaires, généralisation des corps interministériels et de la flexibilité.
Pour savoir plus, télécharger notre tract : FSU Non à la PAP 2022
Première journée de mobilisation intersyndicale le 9 octobre 2018
Le mot d’ordre est clair : "S’opposer à la politique sociale du gouvernement."
Les raisons pour lesquelles la FSU s’associe à cet appel à la grève sont multiples :
- Réforme de la fonction publique qui se décline à travers les 4 chantiers (développement du salaire au mérite, recrutements accrus de contractuels, remise en cause des instances de concertation, plan de départs volontaires sous couvert de mobilité).
- Suppression des CAP et amoindrissement du rôle des CHSCT
- Réforme des retraites, atteinte au statut de la fonction publique, gel des salaires, renforcement de la rémunération « au mérite »
- Politique budgétaire qui ne bénéficie encore qu’aux plus riches
- Renforcement des inégalités territoriales (Réforme du Lycée, Bac à la carte, Réforme de la voie professionnelle et suppression des 5000 postes)…
- Renforcement des inégalités sociales.
- Parcoursup et l’accès aux études supérieures de plus en plus difficile pour les étudiants (120 000 étudiants sans affectation en septembre).
- Retraités, familles et jeunes en situation de précarité fragilisés par la sous-indexation des pensions, des allocations familiales ou des aides au logement par rapport à l’inflation
- Réforme du système de santé
Télécharger le tract intersyndical de mobilisation du 09 octobre 2018
Non à la mise en place de la sélection, à l’UCA comme ailleurs !
Non aux décisions de la Présidence de l’UCA pour empêcher le débat et le droit de manifester !
Cher.e.s collègues,
Dans le cadre de la journée d'action nationale contre le projet de loi Vidal jeudi 1er février, nous invitons l’ensemble des personnels, enseignants, non enseignants, à venir s'informer et débattre des enjeux de la loi ORE sur l'accès sélectif à l'université, qui nous concernent tous en tant qu’agents ou parents d’élèves. Nous vous proposerons une présentation des modifications d'accès au Supérieur (Parcoursup)
et de ses conséquences pour les élèves (sélection) et les personnels , modifications statutaires, suppressions de postes, (dégradation des conditions de travail des agents et des enseignants, etc.).
Vous êtes donc convié.e.s à une :
Réunion d’information syndicale à l'UFR LCSH (Site Gergovia) pour discuter et agir
Jeudi 1er février
de 11h15 à 12h15 (salle 118 - 1er étage)
et de 12h15 à 13h15 (amphi 3)
Venez nombreuses et nombreux !
Nous vous rappelons que votre participation sur votre temps de travail est autorisée dans le cadre des heures mensuelles d'information syndicale.
Autorisation d’absence de droit en vertu des articles 5, 6, 7 du décret 82-447 et la circulaire FP 1487 du 18/11/1987.
L’autorisation d’absence inclut également le temps de trajet, elle ne nécessite pas le dépôt d'une convocation.